Il laisse trop de place à l'interprétation de l'arbitre.
On ne peut pas dire qu'une action se résume à une passe et dès le contrôle/passe suivant dire que c'est une autre action. Si encore le ballon part sur une aile que ça revient, etc... je veux bien, mais là non.
Encore une fois, je ne suis pas arbitre, ce n'est que mon avis, mais combien a-t-on vu de buts refusés quand un joueur frappe, le gardien repousse et un autre qui était "hors-jeu" au moment de la frappe reprend et marque? Des tonnes.
Donc pour moi, sur le but d'hier, je pense simplement que le juge de touche n'a pas vu la position de hors-jeu de Jesus. C'est l'interprétation que je fait de l'interprétation du corps arbitral
Il laisse trop de place à l'interprétation de l'arbitre.
On ne peut pas dire qu'une action se résume à une passe et dès le contrôle/passe suivant dire que c'est une autre action. Si encore le ballon part sur une aile que ça revient, etc... je veux bien, mais là non.
Encore une fois, je ne suis pas arbitre, ce n'est que mon avis, mais combien a-t-on vu de buts refusés quand un joueur frappe, le gardien repousse et un autre qui était "hors-jeu" au moment de la frappe reprend et marque? Des tonnes.
Donc pour moi, sur le but d'hier, je pense simplement que le juge de touche n'a pas vu la position de hors-jeu de Jesus. C'est l'interprétation que je fait de l'interprétation du corps arbitral
Le comportement désinvolte, voire grossier, du milieu de terrain et de l’attaquant tricolores avant et après la défaite face à l’Espagne, samedi, font resurgir les fantômes de Knysna.
Par GRÉGORY SCHNEIDER (à Donetsk)
Samedi soir au cœur de la Donbass Arena de Donetsk, une petite heure après la qualification logique de la Roja espagnole pour les demi-finales de l’Euro au détriment des Bleus (2-0). Rentré en cours de jeu, Samir Nasri passe sans s’arrêter en zone mixte, l’espace dévolu aux échanges entre les joueurs et la presse. Juste avant de monter dans le car, il fait demi-tour, passe sous une barrière et retourne dans le vestiaire.
Il y restera une dizaine de minutes. Pendant ce temps, Alou Diarra, Karim Benzema, Hugo Lloris ou Franck Ribéry investissent l’espace et font face dignement : «On est tombé devant ce qui se fait de mieux en Europe», «les Espagnols sont plus matures que nous dans le jeu, mais bon, il leur a fallu six ans», «on leur a laissé le ballon exprès». Nasri revient, avec l’intention manifeste de ne pas répondre à la moindre question. Un journaliste de l’AFP insiste. Nasri : «Vous cherchez toujours la merde. Vous cherchez des histoires.» Le type : «C’est ça, casse-toi.» Nasri : «Va te faire enculer. Va niquer ta mère, sale fils de pute. Tu veux qu’on s’explique ? Allez, comme ça, vous pourrez continuer à dire que je suis malpoli…» Le type recule et se fond dans la masse.
Nasri s’éloigne : dans le car des Bleus, il répétera à un membre du staff son intention de démolir le gars. L’histoire est terminée. Elle avait commencé bien plus tôt, deux heures avant le coup d’envoi, lors de la reconnaissance du terrain par les joueurs français. Seuls les remplaçants l’ont effectuée samedi. Une bonne moitié d’entre eux donnent alors l’impression de déambuler dans une kermesse battant son plein. Le milieu Blaise Matuidi fait des photos avec sa famille venue le rejoindre au bord de la rambarde, l’attaquant Jérémy Ménez déboule en claquettes et équipement MP3 avant d’aller se prélasser sur un banc de touche…
Cirque. Quand il voit l’ailier Hatem Ben Arfa entreprendre carrément une conversation - elle durera plus d’une demi-heure - avec son agent assis en bas de la tribune, le directeur administratif des Bleus, Marino Faccioli, devient livide. C’est le grand cirque. En rupture de ban avec une partie du groupe depuis mardi ( Libération de jeudi), Nasri a une discussion animée avec l’entraîneur adjoint, Alain Boghossian. On apprendra plus tard que le joueur demande alors des explications sur sa non-titularisation, la première dans cet Euro. Quelques minutes après, Boghossian dira à un proche : «C’est la merde.»
Les remplaçants rentrent au vestiaire en ordre dispersé. Ils reviennent pour l’échauffement une heure plus tard, cette fois accompagnée des titulaires. Les trois derniers à rentrer sur le pré : Samir Nasri, Jérémy Ménez et le petit Marvin Martin, qui s’entraîneront - si l’on peut dire - ensemble. Ce que font les deux premiers ne ressemble à rien. Fous rires, pitreries… dont celle-là, que l’on doit au Parisien : il court vers le ballon en mouvement et essaie de se stabiliser à pieds joints sur la sphère tout en effectuant un salut militaire.
Il réitérera cette figure, se tordant même légèrement la cheville une fois. On n’y comprend d’abord rien : une trentaine de caméras braquées, mille fois plus de smartphones susceptibles d’enregistrer la scène… On a pigé d’un coup, quand les deux gars toujours hilares se lancent dans une séance de frappes pleine puissance à 20 mètres de leurs coéquipiers autrement concentrés : pour avoir mal pris leur mise sur le banc, Nasri et Ménez s’offrent alors une petite provocation en mondovision.
«Vaffanculo». Le staff technique ne leur en tiendra pas rigueur : les deux joueurs rentreront à la 64e minute, au plus fort d’un combat alors légèrement dominé par des Bleus limités mais courageux, où Ribéry a une fois de plus tenté d’emmener tout le monde. Nasri patrouilla devant la défense tricolore, s’acquittant correctement de sa mission. Positionné sur l’aile droite, Ménez est en revanche passé à côté ; pas un dribble réussi, un agacement qui lui valut un carton jaune pour un «vaffanculo» lancé à l’arbitre italien et surtout ce geste invraisemblable envers son capitaine, Hugo Lloris, qui lui demandait de suivre son adversaire direct : paume vers le bas et le pouce qui se rabat sur les autres doigts joints, «ferme ta bouche» dans toutes les langues du monde.
En souffrance sur le plan du jeu, les Bleus auront fait énormément d’efforts lors de cet Euro, sur et en dehors du terrain, pour éloigner tant que faire se peut l’ombre du bus de Knysna. Samedi, à Donetsk, Ménez et Nasri auront tout tenté pour les y replonger.
Franchement, je pense que c'est vraiment la faillite du talent. Je vous engage à relire ce que j'avais marqué dans mon ITW au CPPM'ag. Je suis dépité par ces sales gamins. Balayons le prétendu talent, prenons ceux qui mettent le BLEU de chauffe. Et prenons un sélectionneur de caractère avec qui les joueurs n'oseront pas se comporter en sales gosses. Stop à l'impunité !! trop de gâchis depuis des années en équipe de France. Surtout que les fauteurs de troubles n'ont absolument rien prouvé.
Les allemands ont osé le faire plusieurs fois. Stefan Effenberg aviat fait un doigt d'honneur aux supporters, deux ans de suspension. Michaël Ballack, écarté du groupe pour mauvaise conduite. Un groupe c'est comme un panier de fruit, tu mets un fruit pourri, les autres fruits pourrissent aussi. Bref, je suis un peu fâché par le manque de réactions des instances du foot.
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'on croit disait la poulie d'or mais en attendant Esope reste ici et se repose
Tout à fait d'accord avec toi Rico.
Évinçons les brebis galeuses.
Apparemment Nasri serait suspendu 2 ans d'équipe de France. Mais il ne doit pas être le seul à porter le chapeau.
En ce qui me concerne, j'avais tiré la sonnette d'alarme quant à la pauvreté de qualité de jeu dès le 1er match, mais beaucoup pensait le contraire...
J'ai en effet cru en cette Équipe de France suite au match face à l'Angleterre mais il est vrai que le niveau a ensuite baissé de rencontre en rencontre provocant des abus de fierté chez certains qui se voyaient déjà aller loin suite au premier match (qui je le répète était plutôt bon)
J'ai en effet cru en cette Équipe de France suite au match face à l'Angleterre mais il est vrai que le niveau a ensuite baissé de rencontre en rencontre provocant des abus de fierté chez certains qui se voyaient déjà aller loin suite au premier match (qui je le répète était plutôt bon)
+1 les deux premiers matchs de l'euro, ainsi que les matchs de préparation étaient de bonne facture et laissaient de l'espoir pour la suite ! Ne pas confondre qualité de jeu et groupe qui explose de l'intérieur...
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'on croit disait la poulie d'or mais en attendant Esope reste ici et se repose
apparement nasri risque 2 ans de suspension en bleu
mvila, ben arfa, menez sur la scelette...
meme sans ses sanctions ses joueurs ne devrais plus porter le maillot bleu, certains joueurs sont sans doute moins bon mais pret a mouiller le maillot eux ...
Le plus important c'est pas de gagner ... C'est de prendre les bonnes décisions
Comme je l ai deja dit rien a changer depuis 2010 on a un groupe de petits c... et l blanc ne sais pas les tenir. il faut certes virer certains joueurs mais aussi le selectionneur et prendre un mec a poigne! Raymond doit se fendre la poire...
Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.
Dans sa chronique quotidienne pour Ouest-France, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France Raymond Domenech n’a pas manqué de tirer à boulets rouges sur les Bleus.
L’élimination des Bleus vue par Raymond Domenech. Une vision forcément savoureuse. L’ancien sélectionneur tricolore est bien placé pour en parler. Cette génération, il l’a eue entre les mains pendant près de 6 ans. Son incapacité à la gérer l’a entraîné vers le fond. Et en Ukraine, malheureusement, les vieux démons, expression employée récemment par Florent Malouda, ont ressurgi. Dans sa chronique quotidienne pour Ouest-France, Domenech s’est donc lâché ce lundi. Son bilan est sans concession. Dès la fin du premier tour, il s’était montré très sévère à l’encontre des joueurs : «Ce sont les absences d'investissement collectif des joueurs qui me désespèrent jusqu'à la colère». Son opinion n’a guère changé après l’élimination sans gloire et presque sans combattre en quarts de finale face à l’Espagne (0-2).
Cette génération, avec ses «stars», a montré son incapacité à regarder autre chose que son nombril
— Raymond Domenech
Pour lui, Laurent Blanc n’est pas à blâmer. «Épiloguer sur les choix de Laurent Blanc, qui avait opté pour un nouveau remaniement et pour une sécurisation défensive, sur ses changements souvent tardifs ou sur sa difficulté à gérer des ego démesurés, ne ferait que masquer l'écrasante responsabilité des joueurs, explique Domenech. Cette génération, avec ses «stars», a montré toute l'étendue de ses faiblesses. La plus criarde étant son incapacité à regarder autre chose que son nombril. Il suffit de quelques-uns pour qu'un groupe explose ou implose». Samir Nasri, auteur de plusieurs dérapages verbaux envers la presse, n’échappe évidemment pas au courroux de l’ancien sélectionneur : «Nasri en a été le symbole visible. Je n'en dirai pas plus, le vestiaire se chargera de l'enfoncer».
Ménez peut monter une entreprise de démolition, il fera fortune
— Raymond Domenech
Jérémy Ménez et Yann M’Vila en prennent aussi pour leur grade : «Les remplaçants sont les maçons d'un groupe. Soit ils consolident l'équipe, soit ils la détruisent. Ménez peut monter une entreprise de démolition, il fera fortune. M'Vila pourra être son maître d'œuvre au vu de sa sortie de terrain, remarquable face à l'Espagne...» Ce qu’il a manqué dans cette équipe ? Un patron aux yeux de Domenech. Un joueur capable de taper du poing sur la table et à l’aura suffisamment importante pour imposer le respect de ses partenaires. Alou Diarra a bien tenté de le faire après le match catastrophique face à la Suède. «Seul, Diarra s'est révolté dans le vestiaire après la Suède. Conclusion : privé d'Espagne. Trop fatigué. Pas certain que d'autres prendront le risque de stigmatiser des comportements à la limite», estime Domenech qui regrette la disparation des cadres. «Evra, capitaine déchu, est resté sur le banc. Malouda, porte-parole de l'équipe, a traversé l'Euro sans autre impact que médiatique».
Il faut changer la philosophie de notre éducation sportive
— Raymond Domenech
Même Ribéry, pourtant irréprochable au niveau de l’attitude et très actif sur le terrain, n’est pas épargné : «Le cas de Franck Ribéry est symptomatique de l'ambiance (…) Franck a subi les effets de sa volonté de rattrapage d'image. Il a fait son travail et le mot est juste : son travail. Je connais le petit Franck. Il est soit euphorique, soit colérique. Jamais neutre. Et là, il a traversé l'Euro sans émotion visible». Quant à Benzema, l’une des grandes déceptions de cet Euro, il «a montré que jouer au Real est bien plus aisé que d'évoluer en sélection. Pour une raison simple. Son jeu demande des appuis dans la surface de réparation. En équipe de France, il est seul... et il ne reste pas devant. Il a voulu être le sauveur, c'était mission impossible». La seule solution pour remédier à tout ça et rebondir au plus vite : «changer la philosophie de notre éducation sportive et placer le collectif au centre de la formation des futurs professionnels français. Comme le font les Espagnols !».
Ils sont ingérables et n acceptent pas la critique...
Mouais, malheureusement, je pense qu'un sélectionneur national doit aller au bout de ses idées quitte à mourir avec. Quelques exemples
- 1982-1984 : Qu'est ce qu'on a pu critiquer Hidalgo quand il a commencé à mettre 4 milieux offensifs en EdF
- 1995 : Jacquet décide de se passer de Cantona et Ginola, il se fait défoncer par les critiques en 1996 après l'Euro ou la France ne sait pas marquer. Et si Di Biaggio (ti amo di baggio) n'avait pas tiré sur la transversale en 1/4 de finale de la coupe du monde, je n'ose même imaginer ce qu'on aurait dit.
- 2000 Finale de l'euro, tiens si je remplacais Liza par Pires à 10 minutes de la fin... tout le monde connait la suite... le même sélectionneur s'est complètement planté en 2002, mais il est allé au bout de ses idées.
Bref, pas simple le boulot de sélectionneur et je suis persuadé que la Dèche est bien plus armée qu'un Laurent Blanc trop tendre pour mener un groupe dans une compétition. Parle à Séb de la fin de Laurent Blanc à Bordeaux... que de gâchis et que de boulot pour les suivants pour remettre de l'ordre dans ce club.
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'on croit disait la poulie d'or mais en attendant Esope reste ici et se repose
11:32 ours> bonjour comment se passe les inscriptions pour ce soir Sophie et moi voulons venir mais on ne peut s'inscrire ??? 16:48 cho> Buon compleanno 21:36 cho> 10:54 cho> 10:42 Fred> Hb Dylan 09:33 Gaet> HB Pierre ! 10:48 J.R> . 18:58 arsen> 03/01 21:48 rott> Bon anniversaire a tous 23:18 edy> HB Line et Gaet
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